L’histoire de Noël: Jean-Baptiste
Par David Brandt Berg
« Il y avait, à l’époque où Hérode était roi de Judée, un prêtre nommé Zacharie qui appartenait à la classe sacerdotale d’Abiya. Sa femme était une descendante d’Aaron ; elle s’appelait Élisabeth. Tous deux étaient justes aux yeux de Dieu et observaient tous les commandements et toutes les lois du Seigneur de façon irréprochable. Ils n’avaient pas d’enfant, car Élisabeth était stérile et tous deux étaient déjà très âgés. Un jour, Zacharie assurait son service devant Dieu : c’était le tour de sa classe sacerdotale. Suivant la coutume des prêtres, il avait été désigné par le sort pour entrer dans le sanctuaire du Seigneur et y offrir l’encens. »[1]
Dans l’Israël antique, les prêtres et les lévites d’Israël assuraient le service du temple à tour de rôle.
« À l’heure de l’offrande des parfums, toute la multitude du peuple se tenait en prière à l’extérieur. Tout à coup, un ange du Seigneur lui apparut, debout à droite de l’autel des parfums. » [2] L’autel des parfums parfumait le temple, et l’encens était un symbole des prières du peuple de Dieu s’élevant vers le Seigneur.
Tout ce qu’ils faisaient dans le temple était une illustration symbolique du Christ et de son église. Dieu leur montrait constamment une illustration de sa nature et de la relation qui L’unissait à son église. C’est pour cette raison que lorsque Jésus est venu, le temple et les cérémonies rituelles furent supprimés. Quand « ce qui est parfait est venu »[3] en Jésus, alors tout ce qui n’était qu’une illustration, tout ce qui « n’était que l’ombre des choses à venir », comme le dit Paul, fut aboli.[4]
Mais à l’époque de Zacharie, ils en étaient encore à l’ère des symboles et des illustrations; c’était peu de temps avant que tout cela ne soit aboli, à la mort de Jésus. Au moment de sa mort, le rideau du temple, qui avait une épaisseur de plusieurs centimètres, se déchira de haut en bas, et le Saint des Saints se trouva exposé à la vue de tous ! L’endroit même où se trouvait la présence de Dieu fut révélé au grand jour, devenant accessible à tous, et pas uniquement au grand prêtre. C’est Dieu Lui-même qui mit un terme à tout cela, puisqu’Il estimait que le sacrifice de Jésus constituait le sacrifice ultime.
L’empereur Vespasien dépêcha son fils, le général Titus, à la tête d’une armée, à Jérusalem, en 70 avant J.-C. La ville et le temple furent détruits et le sacrifice rituel cessa. La légende veut que la gloire de la Présence divine quitte le lieu saint et survole le temple pendant plusieurs jours, avant de disparaître définitivement. Comme le dit la Bible : « Icabod–la gloire de Dieu s’en est allée. »[5] La présence de Dieu ne résidait plus dans un temple bâti par la main de l’homme – en fait, Il n’avait jamais été présent sauf symboliquement, par la gloire de sa présence divine, la Shekinah – mais la gloire l’avait quitté. Désormais, ce temple se trouve dans notre cœur, dans le seul temple où Dieu réside aujourd’hui, c’est-à-dire en vous et moi ![6]
Jean le Baptiste
Revenons en arrière pour nous replacer dans le contexte de ce qui est arrivé à Zacharie : « Tout à coup, un ange du Seigneur lui apparut, debout à droite de l’autel des parfums. »[7] Si je me souviens bien, l’autel des parfums était situé en plein centre du rideau du temple, quand on faisait face au Saint des Saints. « Quand Zacharie le vit, il en fut bouleversé et la peur s’empara de lui. Mais l’ange lui dit : –N’aie pas peur, Zacharie, car Dieu a entendu ta prière : ta femme Élisabeth te donnera un fils. Tu l’appelleras Jean. »[8]
C’était Jean-Baptiste. Dieu lui donna son nom, sans aucun doute un messager de Dieu. « Il sera pour toi le sujet d’une très grande joie, et beaucoup de gens se réjouiront de sa naissance. Il sera grand aux yeux du Seigneur.”[9] Aux yeux de Dieu, Jean était l’homme le plus grand qui ait jamais vu le jour ! Ce n’est pas peu dire : « Parmi tous les hommes qui sont nés d’une femme, il n’en a paru aucun de plus grand que Jean–Baptiste. »[10] Il était plus grand que Moïse, plus grand qu’Elie ou Abraham.
« Quand Zacharie le vit, il en fut bouleversé et la peur s’empara de lui. » À votre avis, auriez-vous peur si un ange apparaissait devant vous? Lorsque j’ai vu des anges pour la première fois, j’étais mort de peur ; la fois suivante, j’ai ressenti un mélange de joie et de crainte. C’est une expérience extraordinaire!
« Il sera grand aux yeux du Seigneur. » Ensuite, nous découvrons ce qui fait de lui quelqu’un de grand. « Il ne boira ni vin, ni boisson alcoolisée. Il sera rempli de l’Esprit Saint dès le sein maternel. »[11]
Dieu a fixé certaines règles, mais Il peut faire des exceptions et agir de façon tout à fait inhabituelle quand Il en a envie. Ici nous voyons que Jean Baptiste a été rempli du Saint-Esprit avant même d’être né ! Pour les hommes, c’est impossible, mais pour Dieu, tout est possible.[12]
« Il ramènera beaucoup d’Israélites au Seigneur, leur Dieu. » Quel était son ministère ? Ramener les enfants de Dieu au Seigneur. « Il accomplira sa mission sous le regard de Dieu, avec l’esprit et la puissance d’Elie, pour réconcilier les pères avec leurs enfants, pour amener ceux qui sont désobéissants à penser comme des hommes justes et former ainsi un peuple prêt pour le Seigneur. »[13]
Le plus important dans ce message, c’est qu’il serait grand aux yeux du Seigneur, et rempli de l’Esprit Saint avant même sa naissance, et qu’Il « marcherait devant Dieu. »[14] Qui est arrivé le premier? Jean-Baptiste ou Jésus? C’est Jean-Baptiste. Leurs deux naissances furent annoncées à l’avance. Leurs deux naissances furent miraculeuses. Jean avait six mois de plus que Jésus. Ils étaient cousins au premier degré, et Dieu avait choisi Jean pour préparer le chemin de son cousin et être son messager.
Elie était un homme de Dieu exceptionnel ; il avait beaucoup de courage. « Avec l’esprit et la puissance d’Elie. » De quel esprit et de quelle puissance s’agissait-il? De l’Esprit et de la puissance de Dieu! Autrement dit, Jean Baptiste était rempli du Saint-Esprit dès le sein maternel; il avait l’esprit et la puissance d’Elie.
Plus tard, Jésus devait préciser : « Et, si vous voulez le croire, c’est lui, cet Elie qui devait venir. »[15] Les prophètes de l’Ancien Testament avaient annoncé qu’avant la venue du jour de l’Éternel, ce jour grand et terrible, Elie ouvrirait la voie au Seigneur.[16] Cette prophétie fut donnée longtemps après la mort d’Elie. Ils interprétèrent cela en pensant qu’Elie allait ressusciter d’entre les morts et leur apparaître, juste avant l’arrivée du Messie, pour annoncer sa venue.
Un passage de Matthieu 11 nous révèle un aspect très intéressant du ministère de Jean. Le Seigneur s’adresse à la foule et lui explique qui est Jean : « Qu’êtes–vous allés voir au désert ? Leur demanda–t–il. Un roseau, agité çà et là par le vent ? »[17] Un petit bruissement du vent dans les roseaux ? Est-ce cela que les gens allaient voir ? Sûrement pas ! Ils se déplaçaient pour voir une tornade! Ils allaient voir un ouragan pour Dieu! Autant dire que Jean avait une apparence plutôt sauvage. Les gens venaient le voir s’enflammer!
Pratiquement dès le départ, Jean est allé vivre dans le désert. Il n’a jamais fréquenté aucun institut biblique, ni aucun séminaire. Il n’a jamais fait partie d’aucune confession, ni du Sanhédrin, et n’a jamais été ordonné par une autorité humaine. En attendant que son ministère commence, il est allé vivre dans le désert pour s’isoler avec Dieu. Il n’a débuté son ministère et n’a commencé à annoncer la venue du Seigneur que lorsque Jésus était sur le point de commencer le sien, après s’être fait baptiser par Jean. Ce n’est qu’à ce moment-là que Jean a commencé son ministère et qu’il s’est employé à préparer le chemin du Seigneur.
Plus tard, Jésus leur dit: « Oui, qui donc êtes–vous allés voir ? Un homme habillé avec élégance ? Généralement, ceux qui sont élégamment vêtus vivent dans les palais royaux. »[18] Est-ce qu’ils ont couru voir un de leurs prêtres habituels ou un membre du sanhédrin ? C’est ça qu’ils sont allés voir ? Les scribes et les pharisiens habituels ? Ces gens-là ne déclenchent aucun mouvement de foule quand ils sortent dans la rue. Mais si jamais ils descendaient dans la rue vêtus d’une peau de chameau, ou d’un pagne rudimentaire, et qu’ils avaient une barbe et des cheveux hirsutes, les gens s’arrêteraient pour les observer de près!
Je suis bien certain qu’il n’y avait pas de coiffeur dans le désert et donc, il avait probablement une barbe bien fournie. D’après les représentations artistiques qui nous sont parvenues, c’était un personnage assez sauvage, et il devait certainement attirer l’attention. Lorsqu’il marchait dans la rue, les gens devaient se retourner sur son passage.
Sauf qu’il ne marchait pas dans la rue; il restait sur les rives du Jourdain et les gens venaient le voir. Ce devait être quelqu’un d’extraordinaire; d’après ce qu’on en sait, il ne faisait pas de miracles.
Nous savons qu’il prédit certains événements et qu’il lança une accusation qui lui coûta sa tête. Il reprocha sévèrement au roi d’avoir pris pour épouse la femme de son frère, ce qui lui coûta la vie. Autrement dit, il critiqua le gouvernement; il engueula le président.
D’après le récit historique, Hérode, le roi qui régnait à l’époque, avait le plus grand respect pour lui. Il répugnait à le jeter en prison et il ne voulait pas le faire décapiter.[19]
« Mais qu’êtes–vous donc allés voir au désert ? Un prophète ? » Que sont-ils allés voir? Un de leurs prêtres ou un prédicateur normal ? Certainement pas. C’est un prophète qu’ils sont allés voir.
Pour quoi Jean était-il réputé? Pour ses miracles, pour les signes merveilleux qu’il accomplissait ? Sans doute un peu pour son apparence, pour son accoutrement un peu bizarre, mais il était surtout célèbre comme prophète, pour son message. Il était célèbre pour le message qu’il proclamait, pour ce qu’il disait. Les gens se déplaçaient pour voir un prophète.
« En effet, jusqu’à Jean, tous les prophètes et la Loi l’ont prophétisé. Et, si vous voulez le croire, c’est lui, cet Elie qui devait venir. Celui qui a des oreilles, qu’il entende. »[20] Cette tournure particulière n’apparaît pas souvent dans les Évangiles, mais on la retrouve souvent dans le livre de l’Apocalypse.
Dans ce passage, Jésus vous dit clairement qu’il faut écouter très attentivement ce qu’Il vient de dire, si vous ne voulez pas en manquer la signification. À mon avis, Il déclarait plus ni moins que Jean Baptiste était cet Elie qui devait venir. C’est la prophétie faite par l’ange, au sujet de Jean-Baptiste, au verset 17 du premier chapitre de l’Évangile de Luc, qui est à l’origine de tout le reste : « Il accomplira sa mission sous le regard de Dieu, avec l’esprit et la puissance d’Elie, pour réconcilier les pères avec leurs enfants. »
Je me demande si Jean eut beaucoup de succès à réconcilier les pères avec leurs enfants ? Imaginez un peu : une des missions de Jean était de ramener la paix entre les parents et leurs enfants. Ce gars-là n’a pas eu la tâche facile, je vous prie de me croire ! —Il avait l’air d’un sauvage, il criait dans le désert comme un illuminé, il se comportait comme un prophète, et il essayait de réconcilier les parents et leurs enfants.
« Pour amener ceux qui sont désobéissants à penser comme des hommes justes et former ainsi un peuple prêt pour le Seigneur. » Ce n’est pas une tâche facile « de ramener ceux qui sont désobéissants à penser comme des hommes justes. » À votre avis, que signifie penser comme des hommes justes? C’est croire et accepter la vérité. « Et former ainsi un peuple prêt pour le Seigneur. »
Donc, Jean-Baptiste avait un ministère plutôt difficile, et soit dit en passant, il n’était pas membre de l’église baptiste ! Il n’est même pas le fondateur de l’église baptiste. Que Dieu bénisse les Baptistes qui aiment le Seigneur. Je remercie Dieu pour tous les chrétiens ; je remercie Dieu pour toutes les vraies églises de Jésus-Christ, quelle que soit leur confession.
« Zacharie demanda à l’ange : – A quoi le reconnaîtrai–je ? Car je suis moi–même déjà vieux et ma femme est très âgée. » Zacharie lui dit: « Tu plaisantes, Seigneur! Nous ne pouvons pas avoir d’enfant à notre âge ! » « L’ange lui répondit : – Je suis Gabriel. Je me tiens devant Dieu, qui m’a envoyé pour te parler et t’annoncer cette nouvelle. »[21] Il lui dit : « Regarde-moi bien : je suis un ange ! Tu ne me crois pas ? » « Alors, voici : tu vas devenir muet et tu resteras incapable de parler jusqu’au jour où ce que je viens de t’annoncer se réalisera ; il en sera ainsi parce que tu n’as pas cru à mes paroles, qui s’accompliront au temps prévu. »[22]
Vous me dites qu’un ange pourrait vous apparaître et vous parler mais que vous ne le croiriez pas ? Jésus-Christ est apparu à beaucoup de gens, Il leur a parlé personnellement et pourtant ils ne L’ont pas cru ! « Ils ne se laisseront pas davantage convaincre par un mort revenant à la vie ! »[23]
« Pendant ce temps, la foule attendait Zacharie ; elle s’étonnait de le voir s’attarder dans le sanctuaire. Lorsqu’il sortit enfin, il était incapable de parler aux personnes rassemblées. Elles comprirent alors qu’il avait eu une vision dans le sanctuaire. Quant à lui, il leur faisait des signes et restait muet. Lorsqu’il eut terminé son temps de service, il retourna chez lui. »[24] Est-ce qu’il a quitté son poste parce qu’il ne pouvait plus parler ? Est-ce qu’il a arrêté de servir Dieu? Non, il a continué son service en faisant du mieux qu’il pouvait.
« Quelque temps après, sa femme Élisabeth devint enceinte et, pendant cinq mois, elle se tint cachée. Elle se disait : – C’est l’œuvre du Seigneur ! Il a jeté maintenant un regard favorable sur moi, et effacé ce qui faisait ma honte aux yeux de tous. »[25]À cette époque-là, c’était une honte et un déshonneur pour une femme de ne pas avoir d’enfant. Lorsqu’une femme ne pouvait pas avoir d’enfant, c’était considéré comme un terrible déshonneur, comme une malédiction envoyée par Dieu ; il fallait qu’elle soit une pécheresse, pour être frappée ainsi de stérilité.
« Le moment arriva où Élisabeth devait accoucher. Elle donna naissance à un fils. Ses voisins et les membres de sa famille apprirent combien le Seigneur avait été bon pour elle, et ils se réjouissaient avec elle. Le huitième jour après sa naissance, ils vinrent pour la circoncision du nouveau–né. Tout le monde voulait l’appeler Zacharie comme son père, mais sa mère intervint et dit : – Non, il s’appellera Jean. – Mais, lui fit–on remarquer, personne dans ta famille ne porte ce nom–là ! Alors ils interrogèrent le père, par des gestes, pour savoir quel nom il voulait donner à l’enfant. Zacharie se fit apporter une tablette et, au grand étonnement de tous, il y traça ces mots : – Son nom est Jean. » [26]
L’ange du Seigneur lui avait commandé de l’appeler Jean. « Tous ceux qui apprenaient [ces événements] en étaient profondément impressionnés et disaient : ‘Que sera donc cet enfant ? ’ Car le Seigneur était avec lui. Zacharie, son père, fut rempli de l’Esprit Saint et prophétisa en ces termes : »[27] C’est un passage magnifique, on dirait de la poésie de l’Ancien Testament :
« Loué soit le Seigneur, le Dieu du peuple d’Israël, car Il a pris soin de son peuple et Il l’a délivré. Pour nous, Il a fait naître parmi les descendants du roi David, son serviteur, un Libérateur plein de force. Il vient d’accomplir la promesse qu’Il avait faite depuis les premiers temps, par la voix de ses saints prophètes, qu’Il nous délivrerait de tous nos ennemis et du pouvoir de ceux qui nous haïssent.
Il manifeste sa bonté à l’égard de nos pères et Il agit conformément à son alliance sainte. Il accomplit pour nous le serment qu’Il a fait à notre ancêtre, Abraham, de nous accorder la faveur, après nous avoir délivrés de tous nos ennemis, de Le servir sans crainte, en étant saints et justes en sa présence, tous les jours de la vie.
Et toi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très–Haut, car, devant le Seigneur, tu marcheras en précurseur pour préparer sa route, en faisant savoir à son peuple que Dieu lui donne le salut et qu’Il pardonne ses péchés. Car notre Dieu est plein de compassion et de bonté, et c’est pourquoi l’astre levant viendra pour nous d’en haut, pour éclairer tous ceux qui habitent dans les ténèbres et l’ombre de la mort, et pour guider nos pas sur la voie de la paix.
Le petit enfant grandissait et son esprit se fortifiait. Plus tard, il vécut dans des lieux déserts jusqu’au jour où il se manifesta publiquement au peuple d’Israël. »[28]
Première publication : décembre 1968. Adapté et réédité sur le site Anchor, le 16 décembre 2013.
Traduit de l’original anglais « The Christmas Story : John the Baptist » par Bruno et Françoise Corticelli
Copyright © 2013 The Family International.
[1] Luc 1:5–9, sauf indication contraire, les versets cités sont tirés de la Bible du Semeur
[2] Luc 1:10–11.
[3] 1 Corinthiens 13:10 LSG.
[4] Colossiens 2:16–17.
[5] 1 Samuel 4:21 DRB.
[6] 1 Corinthiens 6:19.
[7] Luc 1:11.
[8] Luc 1:12–13.
[9] Luc 1:14–15.
[10] Matthieu 11:11.
[11] Luc 1:15.
[12] Matthieu 19:26 PDV; Marc 10:27.
[13] Luc 1:16–17.
[14] Luc 1:17 LSG.
[15] Matthieu 11:14.
[16] Cf. Malachie 4:5.
[17] Matthieu 11:7.
[18] Matthieu 11:8.
[19] Cf. Matthieu 14:9.
[20] Matthieu 11:13–15.
[21] Luc 1:18–19.
[22] Luc 1:20.
[23] Luc 16:31.
[24] Luc 1:21–23.
[25] Luc 1:24–25.
[26] Luc 1:57–63.
[27] Luc 1:66–67.
[28] Luc 1:68–80.
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