Le Dieu de toute consolation

juin 14, 2014

Compilation

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus–Christ, le Père qui est plein de bonté, le Dieu qui réconforte dans toutes les situations. » — 2 Corinthiens 1:3 SEM

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« Le Dieu qui réconforte dans toutes les situations ». Dieu nous offre toutes sortes de consolations et de réconfort. Quel que soit le réconfort dont vous avez besoin pour vous soutenir dans votre affliction, Dieu a exactement le réconfort et la consolation dont vous avez besoin – et Il est prêt à vous l’accorder ! Vous pouvez être sûr et certain qu’Il vous le donnera si vous le Lui demandez. Pour moi, c’est un nom qui remplit d’espoir quiconque est épuisé par les épreuves de la vie et dans leur longue traversée du désert ! Dieu est le Dieu de toutes les consolations. Pas seulement le Dieu qui réconforte de temps en temps, mais qui réconforte dans toutes les situations. Si vous avez besoin de tout le réconfort du monde, Dieu l’a en réserve et Il vous le donnera ! Si des enfants de Dieu, malades, en prison, dans le besoin, ou dans la dépression, ont besoin de réconfort – Le Dieu qui réconforte dans toutes les situations vous l’accordera en fonction de votre besoin! —Charles Spurgeon[1]

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Ne sois pas effrayé, car Je suis avec toi ; ne sois pas angoissé, car Moi, Je suis ton Dieu. Je t’affermis, Je viens à ton secours, pour sûr, Je te soutiens de mon bras droit qui fait justice. —Esaïe 41:10 SEM

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Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix en Moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, Moi, J’ai vaincu le monde. —Jean 16:33 SER

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Même si je traverse la sombre vallée de la mort, je n’ai peur de rien, SEIGNEUR, car Tu es avec moi. Ton bâton de berger est près de moi, il me rassure. —Psaume 23:4 PDV

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Je vous laisse la paix, c’est ma paix que Je vous donne. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. C’est pourquoi, ne soyez pas troublés et n’ayez aucune crainte en votre cœur. —Jean 14:27 SEM

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« Venez à Moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et Moi,  Je vous donnerai le repos. Prenez sur vous mon joug et mettez–vous à mon école, car Je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes. —Matthieu 11:28–29 TOB

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Beaucoup de gens  reçoivent d’innombrables bénédictions de Dieu et se reposent sur Lui, pourtant ils ne connaissent pas Dieu intimement. Nombreux sont ceux qui ont fait confiance au Christ et ont trouvé un véritable réconfort dans l’assurance de son amour, et qui, finalement, à l’heure de l’épreuve, ont formé avec Lui des liens d’amitié et d’intimité. Cette révélation leur a permis de découvrir des trésors d’amour, de sympathie et de réconfort qui surpassent tout ce qu’ils avaient connu jusque-là. Par conséquent, lorsque nous recherchons de l’aide à l’heure de l’épreuve, nous ne devrions jamais nous contenter des seuls dons de Dieu, ou du réconfort que produisent ses promesses ; nous devrions les laisser de côté, pour approcher Dieu en personne et chercher la satisfaction dans l’infinie béatitude de son amour.

C’est ainsi que les Écritures représentent Dieu. Il ne cesse de nous dispenser, de sa main généreuse, sa compassion et ses bénédictions, mais Il ne veut pas que nous nous contentions de cela. « Ainsi, vous vous comporterez vraiment comme des enfants de votre Père céleste, car Lui, Il fait luire son soleil sur les méchants aussi bien que sur les bons, et Il accorde sa pluie à ceux qui sont justes comme aux injustes. »[2] Mais Il désire se manifester à ses enfants différemment de la façon dont Il se manifeste au monde. Les grands saints de la Bible ne trouvèrent pas leur satisfaction et l’aide qu’ils attendaient dans les dons de Dieu, mais en Dieu Lui-même. Ainsi, la raison de la suprême assurance de David, qui lui fit dire « Je ne manquerai de rien », n’était pas qu’il avait emmagasiné une grande provision de dons de Dieu, mais parce que « l’Éternel est mon berger »[3]. Il ne se fiait pas aux richesses que Dieu lui avait données, et qui le mettaient hors d’atteinte du besoin pour le restant de ses jours. Non, il se fiait à Dieu Lui-même. Dans un autre psaume, les soupirs du psalmiste n’expriment pas son ardent désir de voir les signes de la bonté divine, ni ses faveurs, ni de simples bienfaits, mais son intense soif de Dieu. « Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant. »[4] Seule la communion avec Dieu pouvait apaiser sa soif. Rien de ce que Dieu aurait pu lui donner, aucun de ses dons les plus précieux, aucune de ses bénédictions les plus douces, n’aurait pu le satisfaire. C’est de Dieu, et de Dieu seul, du Dieu vivant, qu’il avait soif. L’âme humaine a été faite pour Dieu, et Dieu seul peut la combler.

Donc, la seule vraie consolation, le seul véritable réconfort à l’heure de l’épreuve, se trouve en Dieu. C’est également ainsi que notre Père désire nous bénir; Il nous demande de Lui accorder toute notre confiance, et alors Il se révélera à nous dans toute sa tendresse et son intimité. Après le décès d’Horace Bushnell, on retrouva parmi ses notes ces quelques mots écrits au crayon, dans sa Bible: « L’amour maternel de ma mère venait de Dieu, et Dieu s’est d’abord manifesté à moi dans l’amour de ma mère – bien que son amour, à Lui, fût encore plus profond et plus durable que le sien. Elle nous a quittés, il y a bien longtemps, mais Dieu est toujours à mes côtés, et Il m’embrasse tout aussi tendrement et affectueusement dans ma vieillesse qu’elle le faisait lorsque j’étais un petit enfant ; et maintenant, Il est ma joie et le plus grand bonheur de ma vie, à tel point qu’Il me permet de Le connaître et de L’appeler en toute confiance mon Père. »

Les promesses, les explications et les arguments logiques, aussi sincères et aussi attentionnés soient-ils, ne pourront jamais amener la paix parfaite au cœur rongé par l’angoisse. Nul doute que nous écouterons tout ce que les consolateurs les plus doués de la terre pourront nous dire, et même sur le réconfort de la Parole de Dieu. Toutefois, notre esprit esseulé restera vulnérable dans sa solitude. Nul doute que nous donnerons notre assentiment aux bonnes paroles qui nous sont adressées, et que notre esprit manifestera son accord, trouvant ainsi une certaine mesure de paix; pourtant, en notre for intérieur, nous resterons inconsolés. Il manque quelque. Mais si nous nous glissons dans le sein de Dieu pour nous y blottir tel un enfant fatigué qui va se blottir dans les bras de sa mère, et si nous nous laissons envelopper et embrasser par son amour qui inonde notre cœur, aussi amer que soit notre chagrin, nous trouverons dans le sein de Dieu le réconfort et le soulagement dont nous avons besoin. Et quand bien même toute source de joie humaine nous est refusée et que nous sommes abandonnés de tous, nous pourrons toujours trouver suffisamment de réconfort auprès de Dieu.

La sympathie humaine, quand elle est sincère, est une vraie bénédiction. Dieu nous envoie des amis pour nous donner un petit aperçu de son amour – des petites capsules de sa grâce. Mais Il demeure le seul véritable consolateur. Seul son amour est assez grand pour nous satisfaire pleinement, et seule sa main a le talent nécessaire pour soigner nos blessures. —J. R. Miller[5]

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Quand tous nos espoirs sont déçus et que tout a échoué, quand nos rêves sont brisés et que notre bateau rentre au port les mâts fracassés, nous avons toujours Jésus! Et Il est tout ce dont nous avons besoin ! —David Brandt Berg

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Tu fais briller ma lampe ; ô Éternel, mon Dieu, Tu illumines mes ténèbres. —Psaume 18:28 SEM

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Tu es un abri pour moi, Tu me gardes du danger. Autour de moi retentissent les chants de la délivrance. —Psaume 32:7

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Où irai–je loin de ton Esprit ?

Et où fuirai–je loin de ta face ?

Si je monte aux cieux, Tu y es ;

Si je me couche au shéol, T’y voilà.

Si je prends les ailes de l’aube du jour,

Si je fais ma demeure au bout de la mer,

Là aussi, ta main me conduira et ta droite me saisira.

Et si je dis « Au moins, les ténèbres m’envelopperont »,

Alors la nuit est lumière autour de moi.

Les ténèbres même ne sont pas obscures pour me cacher à Toi,

Et la nuit resplendit comme le jour,

L’obscurité est comme la lumière. —Psaume 139:7–12 DRB  

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Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu. —Apocalypse 21:4 SEM.

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Sa Parole est toujours d’un grand réconfort et la voix de son Esprit toujours très encourageante à l’heure de l’épreuve. —David Brandt Berg

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Déposez votre fardeau sur le Seigneur. Déchargez-vous-en sur Jésus et allez dormir – et laissez-Le veiller toute la nuit! Ne vous faites pas de souci. Laissez-Le s’en occuper ! Ses épaules sont assez larges pour porter n’importe quel fardeau – tous les fardeaux du monde, y compris le sien ! —David Brandt Berg

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Garde les yeux tournés vers Moi à chaque instant. Certes, le ciel est sombre, le vent est violent, les eaux sont profondes et troubles, et les vagues déferlent tout autour de toi. Et apparemment, tu n’as aucun moyen d’y échapper. Mais Moi, Je suis ton refuge. Je suis le soleil qui chasse les nuages noirs. Ma voix calme le tumulte des vagues. Mes rayons de soleil éclairciront les eaux pour que tu puisses admirer les choses splendides qui se trouvent juste sous la surface de l’océan de la vie.

Si, de quelque côté que tu te tournes, tout paraît sombre et déprimant, tourne les yeux vers Moi qui suis ton soleil éternel.  J’illuminerai ta voie, Je calmerai les flots de la mer, et ainsi Je t’aiderai à trouver la paix et la sécurité. —Message de Jésus, reçu en prophétie 

Publié sur Anchor le 6 Mai 2014. Traduit de l’original « The God of all Comfort », par Bruno et Françoise Corticelli.  

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[1] Prononcé par Spurgeon au Metropolitan Tabernacle, Newington, le 15 juin 1882.

[2] Matthieu 5:45 SEM

[3] Psaume 23:1 SEM

[4] Psaume 42:2 DRB

[5] Le Ministère du réconfort (Hodder and Stoughton, 1901).

 

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